VASE CALLIPYGE
Par Bernard GARRIGUES le dimanche 12 septembre 2010, 17:02 - COLLECTION PRIVÉE - Lien permanent
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Dis-moi le redoublement des racines
La femme qui s'avance sans amarres
Et sans peur debout dans la distance
Celle qui écrit au revers des courants
Jeanine BAUDE
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bernard garrigues 1995 diamètre 18 cms, laiton, patine naturelle
Commentaires
Beau travail, illustration de cette pensée de Goethe :
"La femme est l’unique vase qui nous reste encore où verser notre idéalité".
Quand vient l''automne au petit matin après une pluie, tout doucement la brume s'élève en volutes, masque les chevaliers qui montent la garde, la garde à Guérin.
Elle s'élève et enveloppe la tour, la tour prends garde à Guérin...
Puis soudain commence le chant, le chant du dinandier... Laisse aller ton pas, l'immense portail est toujours ouvert !
Merci à vous, les copines.
Je vous conseille le recueil de poèmes féminins : Couleurs femmes, où je trouve mes citations.
Callypige, du grec kalos, beau et pygos, fesse retrace des aventures postérieures tandis que ce qui nous est montré ici est du domaine antérieur.
Bernard, pourrais-tu retourner ton vase ?
Plaisanterie mise à part, superbe création...
Bien amicalement
Futur antérieur ? Callipyge, à ça mais ...
En fait, il faudrait que je fasse un diaporama qui tourne autour des fesses : je ne sais pas faire.