VASE CALLIPYGE

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Dis-moi le redoublement des racines
La femme qui s'avance sans amarres
Et sans peur debout dans la distance
Celle qui écrit au revers des courants

Jeanine BAUDE
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VASECALLIPYGE01.jpg


bernard garrigues 1995 diamètre 18 cms, laiton, patine naturelle

Commentaires

1. Le dimanche 12 septembre 2010, 19:53 par Colline

Beau travail, illustration de cette pensée de Goethe :

"La femme est l’unique vase qui nous reste encore où verser notre idéalité".

2. Le dimanche 12 septembre 2010, 20:58 par Piboule

Quand vient l''automne au petit matin après une pluie, tout doucement la brume s'élève en volutes, masque les chevaliers qui montent la garde, la garde à Guérin.
Elle s'élève et enveloppe la tour, la tour prends garde à Guérin...
Puis soudain commence le chant, le chant du dinandier... Laisse aller ton pas, l'immense portail est toujours ouvert !

3. Le dimanche 12 septembre 2010, 22:18 par bernard garrigues

Merci à vous, les copines.

Je vous conseille le recueil de poèmes féminins : Couleurs femmes, où je trouve mes citations.

4. Le lundi 13 septembre 2010, 13:03 par Fraissinet

Callypige, du grec kalos, beau et pygos, fesse retrace des aventures postérieures tandis que ce qui nous est montré ici est du domaine antérieur.
Bernard, pourrais-tu retourner ton vase ?
Plaisanterie mise à part, superbe création...
Bien amicalement

5. Le lundi 13 septembre 2010, 17:10 par bernard garrigues

Futur antérieur ? Callipyge, à ça mais ...

En fait, il faudrait que je fasse un diaporama qui tourne autour des fesses : je ne sais pas faire.

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